Et si on dansait pour mieux vieillir ?

Une étude Universitaire menée par des chercheurs en neurologie du Collège de médecine Albert Einstein, aux Etats-Unis, révèle que les personnes qui pratiquent la danse sont nettement moins touchées par la dégradation de leurs fonctions intellectuelles que celles qui pratiquent toute autre activité.

Les chercheurs ont en effet étudié le lien entre la pratique d'activités de loisir et l'apparition de la démence. La danse apparaît être la meilleure activité pour se prémunir de la démence sénile ou de maladies dégénératives telles que la maldie d'Alzheimer.

Mieux vaut danser que lire ou écrire
L'étude est d'autant pus étonnante qu'elle révèle que la danse est une activité meilleure pour l'intelligence que les activités intellectuelles intrinsèques et que n'importe quelle activité physique.

En effet, l'étude a porté sur 6 activités de loisir ( lecture, écriture, mots croisés, cartes, discussions, musique) ainsi que sur 9 activités physiques ( natation, vélo, danse, groupes d'exercice, jeux déquipe, bowling, marche, ménage et babysitting). La fréquence de pratique a été étudiée, mesurée et analysée.

Parmi les activités physiques étudiées, la danse est la seule qui diminue considérablement le risque d'apparition d'une démence sénile. Pratiquée régulièrement, elle réduit ce risque de 76%. 2 fois plus que la lecture. Les autres activités physiques n'ont pas indiqué d'impact important.

A la différence de la plupart des autres pratiques physiques, la danse implique un effort mental et des interactions sociales significatives. L'association des stimulations sociales et intellectuelles semble donc être la raison pour laquelle les danseurs réguliers sont davantage prémunis.

Groupama Bavar'@age vous recommande, sur ce sujet, la lecture d'une chronique basée sur une étude menée par le Laboratoire d'étude de la santé cognitive des aînés (LESCA).

Cliquez sur le lien ci-dessous
http://etsiondansait.com/2016/03/31/danser-pour-mieux-vieillir-ensemble/

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